Friday, June 25, 2010

Management du futur, innovation et métiers de l'Internet


Version imprimable Suggérer par mail
  1. Comment gérer l'innovation collaborative en entreprise ? , Techtoc TV, le 18 avril 2010.
  2. Quels sont les nouveaux métiers du Web émergent?, Techtoc TV, le 18 avril 2010.
  3. Le Télétravail, Techtoc TV, le 18 avril 2010.
  4. Management du Futur : compte-rendu d'un succès!, Cefrio, 16/04/2010
  5. Le rêve de territoires numériques, cefrio, 22/02/2010
  6. «Le management du futur», Conseil de l’Europe, Strasbourg, 8 - 9 mars 2010.

Séminaire "Les nouveaux métiers de l'Internet"

Séminaire ProInterNet,
organisé par la Fondation des Territoires de Demain, le 11 juin 2010

Dîner-débat ProInterNet/PIN

autour de Claude Reynier, Ministère de l'Education (France), intervenante.


LES MÉTIERS DE DEMAIN (2)

Le marché du travail est marqué par l'émergence de fonctions entièrement nouvelles et par l'évolution des fonctions plus traditionnelles. Quels sont ces jobs de demain? Le monde évolue, il est bouleversé sur tous les plans: économique, écologique et social. Les entreprises doivent donc inventer ou réinventer de nouvelles manières de travailler quels sont ces métiers? Dans son "Guide des nouveaux métiers 2010", Michael Page répond à ces questions.

GUIDE DES NOUVEAUX MÉTIERS 2010 10 MÉTIERS DE DEMAIN:

1. Community manager.
Vu l’évolution permanente d’internet et des médias sociaux, les entreprises ont besoin d’un profil chargé d’assurer la promotion de la marque et de ses produits via des plateformes telles que Facebook, Youtube, Twitter... De bonnes capacités rédactionnelles et une maîtrise des outils marketing web 2.0 sont requises. De 30.000 à 65.000 euros.
2. Chargé d’affaires en restructuration de dette.
Le "debt restructuring consiste à restructurer tout ou partie du passif de l’entreprise en difficulté afin de renégocier auprès des différents créanciers des conditions de remboursement permettant la survie", explique Michael Page. Crise oblige, ce métier a le vent en poupe. Des profils universitaires, calés en finance et ayant des connaissances sur les cycles économiques sont recherchés. De 80.000 à 100.000 euros.
3. Responsable achats en développement durable.
L’écologie est un enjeu incontournable pour les entreprises. Ce responsable doit donc (faire) adopter de nouveaux critères de décisions et des comportements parfois en totale contradiction avec les "réflexes historiques de l’entreprise". Ingénieur commercial? Un troisième cycle en achat et/ou en développement durable ne sera pas superflu. De 50.000 à 80.000 euros.
4. Fundraiser.
Les associations, les ONG ou la culture (à travers le mécénat) sont à la recherche d’un responsable de la collecte de fonds. Titulaire d'un diplôme de l'enseignement supérieur de type Sciences-Po ou Ecole de Commerce, il doit maîtriser le marketing direct et la communication. En outre, il doit être en mesure de se construire un réseau de personnes influentes. De 30.000 à 65.000 euros.
5. Responsable e-business.
De nombreuses entreprises, dont celle des secteurs voyage-tourisme, bancassurance et distribution voient leurs activités basculer sur le net. Ce responsable doit piloter les ventes réalisées en ligne. Des formations en commerce et marketing sont requises. De 30.000 à 120.000 euros.
6. Responsable normes et doctrines comptable.
Plus les groupes cotés sont grands, plus ils ont de filiales et entités à consolider. L’internationalisation de l’activité des entreprises complique encore davantage la comptabilité et nécessite donc un expert-comptable ayant une solide expérience en audit international. De 80.000 à 140.000 euros.
7. Responsable de la diversité.
Fonction émergente, elle concerne essentiellement les grosses structures. Elle interviendra par exemple dans le pilotage de formations sur la diversité et le développement de programmes internes visant à prévenir la discrimination. Ce poste est destiné à des diplômés de l'enseignement supérieur disposant de quelques années d’expérience en ressources humaines. De 45.000 à 75.000 euros.
8. Responsable gouvernance Internet.
Des sociétés cotées en Bourse ou dont l'image doit être scrupuleusement préservée ont besoin d’une personne en charge d’une veille active et de la mise en place d’un système de prévention ou d’alerte sur le web. Plusieurs formations d’écoles supérieures sont possibles pour ce poste mais les années d’expériences sur le web primeront. De 60.000 à 75.000 euros.
9. Trésorier.
"La dégradation violente de l’activité des entreprises avec comme conséquence une trésorerie détériorée, un allongement des délais de paiement et une frilosité des banques à financer les entreprises, a considérablement renforcé le poids des Trésoriers", constate Michael Page. Ce job est essentiellement destiné aux cursus de gestion (ingénieur ou non) ou à des profils comptables. De 50.000 à 180.000 euros.
10. Expert bilan carbone.
Vu le renforcement constant des normes environnementales, ce métier est appelé à connaître un véritable boom. Cet expert aura pour mission principale "de proposer des solutions concrètes pour la maîtrise des dépenses énergétiques et la réduction des émissions de gaz à effet de serre". Tout ingénieur pourra prétendre à ce poste à condition de disposer d’une spécialisation en environnement, en énergétique ou en thermique. De 35.000 à 50.000 euros.
15 EMPLOIS DE RÊVE POUR L’AVENIR.
UNE ENQUÊTE DE FUTUROLOGIE SUR LES NOUVEAUX EMPLOIS DE DEMAIN.

Le rapport «The shape of jobs to come» dresse la liste de 100 professions potentielles dans le secteur des technologies. Il a été établi par un groupe de futurologues du bureau d’études londonien Fast Future à la demande des autorités britanniques. Coup d’œil prospectif sur le monde de demain…

1. Chirurgien de la mémoire.
Les chirurgiens de la mémoire seront bientôt en mesure de créer du contenu cérébral supplémentaire, c’est-à-dire d’offrir une extension de mémoire aux personnes qui le souhaitent. Les plus concernées sont celles dont le cerveau est menacé d’explosion par une trop grande quantité d’informations.
2. Fabricant de membres.
Une autre spécialité médicale consistera à fabriquer des membres vivants. Une nouvelle jambe pour un footballeur blessé, par exemple. Vu l’évolution des techniques et de la science, la chose devrait être possible dans une vingtaine d’années. Cette nouvelle profession en appellera d’autres, puisqu’il faudra des designers, des magasins spécialisés et des réparateurs.
3. Gestionnaire de bien-être pour seniors.
Du fait du vieillissement de la population, beaucoup de personnes pourront se lancer dans le métier de gestionnaire de bien-être pour seniors. Il s’agit d’ailleurs de la fonction en devenir la plus populaire, ainsi que le révèle une enquête sur les professions du futur effectuée auprès d’environ 500 personnes dans 12 pays. Ces spécialistes pourvoiront aux soins de santé et aux besoins individuels des personnes âgées en recourant à toute une série de nouvelles thérapies médicales, parmi lesquelles des traitements médicamenteux, des techniques de santé mentales, des traitements naturels et des cures de fitness.
4. Avocat virtuel.
L’avocat virtuel résout les problèmes juridiques entre ressortissants de pays et de régions régis par des lois différentes. Au vu de la tendance actuelle, qui veut que nous passions de plus en plus de temps en ligne, on peut s’attendre à ce que dans les dix ans à venir, de plus en plus d’avocats choisissent la toile comme terrain d’action. Leur travail consistera à démêler l’écheveau juridique autour de cas qui dépassent le cadre des frontières nationales, comme celui du hacker qui attaque un ordinateur au Luxembourg alors qu’il survole la Bulgarie en avion.
5. Manipulateur de climat.
Vu les préoccupations suscitées par le changement climatique, nous assisterons à l’émergence d’un nouveau type de climatologues dont la mission consistera à intervenir dans des zones précises en modifiant des systèmes énergétiques ou en construisant des zones naturelles, par exemple, afin d’endiguer le réchauffement de la planète. Pour ce faire, ils pourraient décider, par exemple, de remplir les océans de fer ou encore de déployer des parapluies géants pour protéger les populations du soleil.
6. Policier météo.
La manipulation des nuages et la création de pluie, qui se pratiquent déjà dans certaines parties du monde, ont des répercussions sur des milliers de kilomètres carrés. Les policiers météo auraient pour mission de contrôler qui est autorisé, par exemple, à propulser des particules d’iode d’argent dans les nuages pour provoquer la pluie.
7. Éthicien des nouvelles sciences.
La science devenant de plus en plus pointue dans la technique du clonage, nous pourrions, à terme, avoir besoin d’une nouvelle armée d’éthiciens. Au fait des plus récents développements scientifiques, ceux-ci devraient aider la société à faire les bons choix en examinant notamment quelles évolutions elle peut tolérer. Ils s’interrogeront donc moins sur la capacité de faire des choses que sur l’autorisation de les entreprendre.
8. Psychologue des réseaux sociaux.
La révolution des réseaux sociaux fait naître quantité de liens d’amitié entre internautes. Mais les ennemis virtuels existent aussi. Les victimes d’attaques personnelles en ligne pourront désormais consulter un psychologue des réseaux sociaux.
9. Producteur d’aliments génétiquement modifiés.
Les producteurs de demain pourront cultiver des légumes et élever du bétail génétiquement modifiés pour développer l’offre de denrées alimentaires. D’ici à 20 ans, ils seront capables d’influencer la teneur en protéines des aliments pour le bien de notre santé. Les scientifiques travaillent d’ores et déjà sur une tomate intégrant un vaccin et sur le lait thérapeutique de vache, de brebis et de chèvre.
10. Enseignant virtuel.
À terme, on pourra utiliser des avatars intelligents ou des personnages virtuels pour aider voire remplacer les enseignants dans les classes. Tout le défi consistera à syntoniser le mieux possible les élèves et leurs enseignants virtuels d’un point de vue humain.
11. Agriculteur vertical.
D’ici à 2020, les agriculteurs verticaux devraient pouvoir augmenter considérablement l’offre de denrées alimentaires en utilisant les gratte-ciels des centres-villes. Ils devront maîtriser pour cela un grand nombre de disciplines, que cela soit dans les sciences, dans le commerce ou dans l’ingénierie.
12. Architecte de l’espace:
Le tourisme spatial figure d’ores et déjà à l’agenda de certaines compagnies. Pour se lancer dans l’aventure, elles auront besoin de pilotes et de guides spatiaux mais aussi d’architectes pour créer dans l’espace des logements et des lieux de travail pour ce personnel. L’université de Houston planche déjà sur un projet de ce genre, qui porte sur la création d’une maison verte sur Mars, d’une base d’opérations sur la lune et d’engins d’exploration.
13. Organisateur de quarantaine.
Si un virus mortel se propage à la vitesse de l’éclair dans plusieurs pays, seules quelques personnes seront préparées. Très vite, il y aura pénurie de personnel infirmier et médical. Au fur et à mesure que le nombre de morts augmentera et que des quartiers entiers seront mis en quarantaine, on aura besoin de personnel pour surveiller les passages et gérer les opérations. Le métier d’organisateur de quarantaine est sans conteste l’un des plus singuliers métiers du futur.
14. Rangeur virtuel.
La révolution numérique créer aussi des besoins en matière de rangement. Nous allons avoir besoin de destructeurs de fichiers numériques. Les personnes qui doivent gérer trop de fichiers importants feront appel à des gestionnaires pour mettre de l’ordre dans leur vie électronique. Le rangeur virtuel triera nos e-mails, organisera tous nos documents et gérera nos mots de passe et nos profils électroniques.
15. Constructeur de véhicules alternatifs.
Nous aurons besoin de designers pour plancher sur des moyens de transport construits avec des matériaux alternatifs et fonctionnant avec des combustibles alternatifs.
ENCORE… DES JOBS DE DEMAIN:

1. Spéciliste de l'optimisation du trafic sur Internet: optimise les partenariats sur le web et les référencements afin de maximiser le trafic des stes internet donc il est responsable.
2. Expert en linguistique informatique: especialiste de langues et de la programation utilise l’outil informatique pour mettre au pôint des sustèmes de reconnaissance vocale, audio de prise de notes et de traduction instantanée, des répondeurs audio automatiques, de traduction éditorial ou de notices d’instruction.
3. Responsable de commaunauté virtuelle: est moderateur du site internet d’une entreprise, doit faire preuve de creativité pôur rendre attractifs les forums de son site et les faire vivre.
4. Editeur de blog: gère le blog editor: il est moderateur et redacteur.
5. Biostaticien: développe et utilise la thèorie et la métodologie biostatistique.
6. Ingenier bio-informaticien: Spécialiste des algorihmes, développe des méthodes et des programmes informatiques qui facilitent le travail des biologistes.
7. Ingeniere photonique: expert de l'ingenierie optique, le photonic enginer conçoit et met en aplication des technologies qui utilisent la lumière comme vecteur de transmission d'information et d'energie.

Thursday, June 24, 2010

Dissemination ProInterNet

 Colloques, séminaires et rencontres de la Fondation Territoires de Demain

1. "Connecting to Smart Cities in the Mediterranean EU regions: Euro-Mediterranean Knowledge and Innovation Communities", dans le cadre de la journée "Smart Cities/Future Internet", organisé par la Commission Européenne, Bruxelles, le 15 janvier 2010.
2. Réunion de coordination du Projet européen "ProInternet", Munich, le 18 janvier 2010.
3. Les projets de formation-recherche-action, Université Intégrale, en collaboration avec Complex'cite , Fondaterra et le soutien de l'Afscet, Le Club de Budapest France, Paris, le 23 Janvier 2010.
4. TECHNOARK 2010, "Les nouveaux espaces numériques", Sierre (Suisse), 29 janvier 2010
5. "For a Euro-Mediterranean Network of Living Labs / Pour un réseau Euro-Méditerranéen des Living Labs" au Premier Colloque "Future Cities", dont la Fondation Territoires de Demain est partenaire, Malte, 18, 19 fevrier 2010.
6. Conseil d'administration de la SOLEP (Evaluation et prospective), Luxembourg, 26 février 2010 .
7. "The Euromedlab initiative.The development of a euro-mediterranean ecosystem of living labs and innovation spaces" dans le cadre de la journée ICT– enabled sustainability in “smart” cities, Malte, 3 rd March 2010. (Vidéo)
8. Journée de conclusion du programme européen C@R, Bruxelles, 3 mars 2010
9. "The European network Digital Cities and the project Connecting to Smart Cities in the Mediterranean EU regions" - dans le cadre de la journée internationale CIP ICT PSP project preparatory meeting, MIMCOL, Malta , 4rd March 2010.
10. "Des lieux et des liens" à la Conférence «Le management du futur» au Conseil de l’Europe, Strasbourg, 8 - 9 mars 2010.
11. "Innovation et prospective" Séminaire de la Fondation des Territoires de Demain - Programme international 2040, organbisé par UNESCO - Fondation des Territoires de Demain, le 11 mars de 10h à 12h30 et de 15h à 17h30, Unesco, Paris.
12. "Une innovation collective sur le territoire" deux tables rondes dans le cadre de Paris 2.0: "L’innovation territoriale et les acteurs en réseaux" et "Les territoires augmentés", le 12 mars 2010 13 heures 30 à 18 heures à l'Espace Kiron - 10, rue La Vacquerie - 75011 Paris.
13. Visioconférence à l’ISEG de Dakar à l’occasion de l’annonce de la création du Living Lab "African Living Lab ISEG/UNIDAF"/Université Internationale de la Diaspora Africaine UNIDAF avec le partenariat de la Fondation, le 15 mars2010.
14. Réunion du Groupe de prospective de la SOLEP avec le CNAM, le 25 mars 2010.
15. Déjeuner-débat sur le thème de «L'expertise française, facteur de rayonnement et d'attractivité» du Collège européen des experts en administration publique autour de la Directrice des Politiques de Mobilité et Attractivité, Direction générale de la Mondialisation, du Développement et des Partenariats au Ministère des Affaires étrangères et européennes, Paris, le 1er avril 2010.
16.  "Pro - (Eng) - Inter - (Esp) Net (Fr)" - "EUROMED LAB" et "Les Living Labs", de la Fondation Territoires de Demain et d'ARENOTECH à «Tendances informatiques: Marrakech 2015», Acadys France et IT6 Maroc, Marrrakech, 8 et 9 avril 2010 (Vidéo 1 - Vidéo 2).
17. Projet de création d'un Fonds de dotation à vocation européenne dédié à la créativité territoriale. Présentation d’un projet de création d’un think tank et d’un Fonds de dotation à vocation européenne dédié au soutien à l’innovation, à la créativité et à l’entrepreneuriat socio-économique de nos territoires. Paris le jeudi 8 avril 2010.
18. "Living Lab et Internet du Futur", Université Polytechnique de Valence, Espagne, le 14 avril 2010
19. Conseille d'Administration de la SOLEP , Ministère de l'économie, Luxembourg, 16 avril 2010.
20. Séminaire "Marseille 2013" le 5 mai 2010. Dans la lignée des précédentes manifestations que la Fondation a organisé ou auxquelles elle a participé dans une optique largement prospective, il s'est agi d'accompagner à l'échelle de Marseille et de la Provence les projets les plus innovants relatifs aux pratiques culturelles de demain, de même que les travaux de recherche et développement des petites entreprises locales notamment. Ces dernières ont d'ailleurs été particulièrement représentées au sein des participants au séminaire qui s'est tenu toute la journée à La Boate, la petite fabrique de l'innovation marseillaise.
21. Marseille 2.0, Marseille, 5-7 mai 2010
22. "Vers la réforme du système de comptabilité nationale et du PBI", organisé par le Conseil Economique et Social et le Conseil Supérieur pour un Dévéloppement Durable du Grand Duché de Luxembourg, le 19 mai 2010.
23. 3ème Forum Luxinnovation, "Business Meets Research", Luxembourg, le 19 mai 2010
24. "Territoires numériques intelligents", Digipolis, Montbéliard, 26 et 27 mai 2010 (Intervention "Territoires numériques intelligents" et présentation de PorInterNet, Digipolis, Montbéliard, 26 et 27 mai 2010 (The mutation of our cognitives environnements)
25. Forum Citoyen et de son fonds de dotation dédié à l'Europe, le 7 juin 2010, Paris
26. Séminaire "Les nouveaux métiers de l'Internet". Organisé par la Fondation des Territoires de Demain au Ministère des Affaires Etrangères et Européennes, Paris, le 10-11 Juin 2010.
27. SEMINAR "THE NEW JOB OF INTERNET". Organized by theTerritories of Tomorrow Foundation, Ministry of Foreign and European Affairs, Paris, 10, JUNE 2010.
28. Dîner-débat autour de Madame Saskia Sassen, Université de Columbia, Etats Unis, Cercle environnement & Société, le 16 juin, Hôtel Bristol, Paris

THE CONSTRUCTION OF A VISION THE DEVELOPMENT OF TOOLS FOR DISSEMINATION

INTRODUCTION

The development of innovative strategies adopted for the creation of a network dedicated to jobs and training of tomorrow in particular with regard to Internet and knowledge technologies has lasted more than one semester.

It has been illustrate by numerous debates and exchange of arguments characterized by great diversity, and this as well in our team as between partners at meetings- especially the meeting held in Paris at French Foreign affairs Ministry on June 11 - and in particular in contact with numerous interlocutors, national and international institutions for the most-.

At the heart of this approach has been chosen in particular a strategy of hub management (explained and presented here), by abandoning decidedly the old practices tools of presentation and project management that would make our work completely misunderstood by our younger interlocutors, precisely those now positioned on the ground of new jobs and training. Its elaboration, very ambitious indeed, took more than one semester (thus beyond the deadlines), but it can only satisfy us today through multiple returns achieved.

I - LE HUB MANGEMENT: A GLOBAL APPROACH FOR DISSEMINATION

On the occasion of the meeting between partners in Paris, we asked Vincent Ducrey- webmaster for the presidency of the French republic - to introduce to us the "system of influence" as he describes it in his recent book. This approach will be followed throughout this analysis and generally in all of our recommendations to our partners.

Through tools that characterize the jobs of internet of today and more tomorrow, every dissemination of results and analysis spring from a project requires the construction of an informational ecosystem and a mapping of the media world that corresponds to it.

This approach requires to rejecting with determination the old practices that survive today (Websites from other projects, traditional newsletter and intended to the only reading of evaluators, forums meaningless ...).
Our approach enables us in fact to abandon this traditional ways and linear to adapt us to new situations in order to benefit from a real reactivity.

Consider the different links separately- As this could have envisaged a few years ago - returns today to ignore the essential, namely the porous borders between media which is in fact a major feature of new forms of communication. Any partner who does not take this into account would release its own efforts of dissemination reduced to little.

As was stressed by Vincent Ducrey in his conclusion at the ministry of Foreign Affairs, The hub concept assumes that every project and the information it conveys has its own life cycle (In this case from three years provided and extensions of the time through complementary projects), an cycle is determined by its content, its transmitters and of course its targets. It is therefore to identify the release of dissemination that allow it to detach from its mounting and to have its own existence in the media world that we have determined.

The purpose of the dissemination of the project PIN, true to our initial determinations, aims to a global influence, in other words to be interpreted by all the relay of information required, whether the relays of the Web, traditional media relays, mobile relays or relay field.
All partners are therefore invited to participate widely in the construction of our hub, that will be the “ hub” of that global influence and in fact the real area of influence that we could build together around our common goals.

The Territories of Tomorrow Foundation has used in its strategies of dissemination to spread widely into consideration the findings of Chris Anderson in his recent writings (In the magazine "Wired" in particular) and particularly of course in his book "The Long Tail"; we remember here that its law 80-20 will be crucial for us: 20% of relaying information formed 80% of the influence of a presentation or a dissemination.

Until now, we are only concentrating (Contrary to some suggestions made at our meeting in Munich and eventually discarded) on building a network of information relays connected very close than ever, and that without there is never any central hierarchy for its dissemination.
It is in this case that the theorizing of the latest communications called "mesh in" . Concretely, this are expectations, even more specifically relay of information potentially fundamental without their small size occasionally, even as their importance about the project did not bring much previously regarded as important relays, as they could be whether public institutions, private actors, and of course especially new media like Web TV with which many programs are planned (and some already do) this year.

The key is to consider the project and its partners as much precursors in the dissemination of information and thus in the deployment of jobs concerned.
Conversely, no work has been done in the field of « mesh-out » : This was the subject of lively discussions - A document has been prepared in the same subject by a partner -, but it seemed to us perfectly useless as a project based on innovation and the future take into account the relays whose presentation itself has become today perfectly obsolete!

To establish the list of built-in relays to our hub PIN, in fact we use our recent communication operations relating to our most recent international projects. We recommend naturally and continue to recommend to all our partners to do the same and we will be also with them in the future for this purpose.

1-    The first treatment of information on the project- and the presentation of the document- allow even, as we know, for emitting low influence (Those whose name does not exceed twenty pages on Google) to benefit from a true echo. A partner must not have to underestimate the role that can perform some of their counterparts (Academic, entrepreneurial, associations, local media ...). The importance of their "localization" is obvious (substantial Importance of linguistic diversity), but we propose to this end a number of generic documents.

2-    The role of news agencies remains significant, We urge all partners to make contact with the agencies most relevant to the scale of each country (the representations especially Associated Press or Reuters) and to transmit them regularly their analyzes, articles, reflections on the news about our field ..., and transmit to us a copy so that we can help expand their dissemination.

3-    Blogs and web versions of newspapers constitute a domain of dissemination very rich, combining the ease of dissemination and importance of their impact. Those responsible for this websites of newspapers are looking in fact such "contributions", just as, by definition, sites live from contributions made to them (THE POST in France). Here also, we are available to our partners not used to identify and manage such informational materials.

4-    The news channels Thematic is our future partners in excellence. In France, we work so especially with BFM TV.

5-    The aggregators, like including Google, are also often an excellent partners, through, again, national representations and even local, because here they are specially often confronted to the search for profiles not always easy to find.

6-    It is the same for mobile operators. We work in our case with ORANGE which has ORANGE LABS dedicated specifically to all new forms of informational dissemination.

7-    Regarding radios, on the one hand local station, specialized on the other hand are among the most faithful. BFM RADIO is the illustration that we concerne. 

8-    The written press the most innovative (Which has such applications on iPhone or IPAD), like the example of the TRIBUNE or the ECHOS in France- and therefore are necessarily aware of our problems- as well as free newspapers (Local versions of METRO in the first place!) are a prime targets for our dissemination. It is the same for the newspaper LE MONDE that allowing in the first page of a special supplements an article by Laura Garcia Vitoria.

9-    The mobilization of actors most concerned and participation requires our integration in the entire field of twitterature. We have not had time to prepare during our meeting in Paris the diffusion of twits summarizing gradually the interventions of the different speakers, it will be essential that we expect this at our next meeting, as it is true that the micro-bloging is now part of any meeting as it is so little serious of this nature. We did it at events such as PARIS 2.0 or MARSEILLE 2.0 and the dissemination of our analysis is found in fact significantly increased.

10-    In terms of social networks, we will return in the second part of this presentation. The subject will be again discussed in regard to online tools of PIN, still today relatively poor, but that the dissemination will give a real boost particularly through the large family of social networks and their interactions necessarily multiple with the future site of reference.

11-    In terms of formation of a true photographic coverage on FLICKR and making presentations as well on DAILY MOTION as on YOUTUE (We refer to other presentations on these sites that will be found under the heading "TERRITORIES OF TOMORROW"), It is important that partners send to us the photos taken during meetings or concerning their institutions.

12-    In terms of blogs and webzines, we must all make a real effort to evoke in all logs or personal theme our contributions and reflections on the theme of our project. We all have at least one blog- Laura Garcia holds four blogs in which it is concerned- and if this is not the case we recommend to all partners to open one to make it an additional and local tool of distribution of our common work. We recommend doing one of three tools most convenient: BLOGGER of course, WORDPRESS mainly and possibly TYPE PAD. We will ensure the alignment of the blogs that everyone has decided to open.

13-    The Wikis can not be confined to Wikipedia that we know the contested place by most players in our field. We suggest- and suggest for everyone - rather to participate in a joint reflection on future tools and technologies of knowledge whose our subject is a central element, with for example the mapping of skills.

14-    The site impact will be primarily a working line for the coming year, with such broadcasters Press (our contacts with PRESSTALIS) and particularly the new forms of information dissemination through the urban furniture of tomorrow and firms with large employing of jobs of the Internet as DECAUX.

15-    The analyzers of opinion are also among our contacts of the next year (OPINIONWAY): for the time being, we simply recommend a first contacts information with themselves and especially their regular customers in order to benefit, in time, from an insertion of our problems in one of their future investigations. 

16-    The influence groups, finally, constitute clearly the raw material of our contacts. In our case, we particularly recommend contacts with makers’ decisions and regional players, associations of elected and officials and experts from think tank.

We have already assembled a large body of information on each of these points.
On each of them, we will provide to the project partners the tools which we appear the most appropriate and at the same time will throw new light on a number of new jobs. We will remain faithful in any case to this mapping of targets relay.


II - A MULTIPLICITY OF SOCIAL NETWORKS IN THE HEART OF OUR STRATEGY

The second component of our approach proposes to build on hundreds of social networks that the Foundation has so far identified and for which the theme of PIN is a real subject of discussion and debate.

It is not necessary to mention here too long, but to enumerate and define which we appear to be the most relevant.

To contact a young public, mostly students. We recommended networks as ETNOKA.
For the same, HUZZ is a social network dedicated to employment, as well as JOBMEETERS.
By registering in the community IGLOO, we can also, testing programs in beta version and be connected to many professionals – whose one party is directly derived from the world of the Internet -.
Although more elitist, we would name well that- Global contrary to what seems to speak its name- FRENCHTUESDAYS.
We will ensure that these communities don’t ignore nothing of PIN....

Some are interesting for PIN precisely because of the precision of their targeting: it evokes so many jobs on the Internet as the network of FINROAD, but in an ecosystem is that of the finance.

It is the same for the world of real estate gathered around IMMOWEBPARTNER.
Very different, but it is also highly specialized, the network of HEJORAMA is devoted to
e-tourism, real Technologies Lab 2.0, or 3.0 in the matter.

AMODUS is a private community composed mainly of business leaders innovative and creative, which organizes several major European and global cities among them our project may be a real subject. We really speaks of new skills necessitated by the knowledge economy, a bit like - even if the cultural formulations is sometimes different- from the Indian APNA CIRCLE or the New Yorkan APRIVATECLUB.    

Very close, a network such as FORBES, also widely open to questions of technology and employment; its sub-networks have a quasi-autonomous life and often quite interesting. INTERNATIONS, based in Germany, seems equally useful for our purposes.

Anecdotally, we also include a network technologically highly targeted as devoted to knowledge and practices regarding the use of devices. It is completely located in our field, largely tinged with geek culture: GDGT.

CONCLUSION

The whole tools of dissemination have been sending to all partners and their returns allow us to specify the expectations of everyone and of course the analysis of relevance of each of the sixteen areas mentioned. 

We emphasize the fact that we will be regularly alongside partners both to develop relationships with actors in their own ecosystem - as implied natural by any strategy of hub management-, but we will also make sure to harmonizing closely all of these actions.

A STRATEGY FOR PIN: A VISION OF JOBS PROSPECTIVE

A STRATEGY FOR PIN: A VISION OF JOBS PROSPECTIVE 
June 2010

We shall first consider the difficulties widely inherent in the present project and should be highlighted.


•    In general, we are not today in a dissemination of certainty, but of iteration, where each message is constructed in relation to another. PIN is a project of thematic network where such a change in perception impose simultaneously towards all audiences identified, but also internally, mainly through reports between the word package (Although this practice of grouping tasks- usual to all European projects- Is clearly seen today challenged by the most innovative practices of project management).

•      Another difficulty that we must overcome is that beyond the various actors identified to jobs more or less determined and to clear features is imposing a multiple professional scenarios where the synergies between knowledge is reinforcing. 

•    The target audiences know themselves considerable changes in the definition of their profiles. Thus, the business community no longer finds its diversity through their size, but essentially their responsiveness and their level of innovation: our interlocutors in the field will be first those of business networking. Alongside them figure mainly the actors of territories clustering which characterizes the knowledge economy: We will organize thus in autumn in Brussels a European conference dedicated to jobs of internet and the innovation world. Concretely, As discussed at our meeting in Paris, it is more the Living Labs and the economic actors that are present over there- even if naturally there is no question of ignoring them in this field-.

For our own vision which we wish to share it in the project PIN, it sees largely based on a PROSPECTIVE OF JOBS, at short or long term, and it is the jobs of today or those of tomorrow - as it is true that the context of our work is a real "war for talent".

As shown by example Pascale Levet whose we follow largely the recommendations through the description of its analysis in the LAB’HO (Adecco group) or also in the ANACT- in the field of Internet and knowledge technologies specially (the works of d’Aline Scouarnec   and those of Emmanuelle Marchal in the Center for the Study of Employment, which be included in our next bibliographies)-, a better description of the work itself can really enrich the prospective of jobs.

The foundations of the recognition of qualifications had indeed calling into question by recruitment procedures largely connected of knowledge in question: this is moreover that will be the best measures which are the concrete consequences of development of an economy based on knowledge that is all here except an expression vain.

If the prospective can clarify the future challenges of labor market, this is not by limiting its approach to the qualitative and quantitative definition of required skills tomorrow, but by expanding it to the mechanisms of approximation between supply and demand in the fields that concern us here. 

The recent developments of recruitment by simulation respond well to such issues, this is by providing a real visibility on the required qualitative and quantitative adjustments tomorrow.

We will have thus to show in our recommendations that it is obviously here the posture of the Recruiter which has to assess in depth.

Similarly, we believe that our analysis and their dissemination allow building real strategies in terms of production and allocation of future human resources.

Several axis should illustrate the present vision of our dissemination:

•    The place of the employability in the field of ours, or more precisely also the prospective of opportunities for professional transitions: taking into account the cognitive processes of various actors of labor market and in the construction of an assessment of employability is essential and we intend to speak on this item in the major international forums involved today in these issues.

•    The failure over the last two decades of the management planning of jobs and skills, particularly in the management of expertise: in this case it is taken into account especially new combinations of activities and skills.

•    The role of professional dynamics and therefore organizational: what matters in the jobs of the Internet in particular, is first today to ensure the systemic look that, in the words of Jean-Baptiste Suquet  , must allow to respect environments and complex organizations. We must therefore clearly articulate in our analysis of levels and especially in different time frames (Including a roundtrip present / future in the description of qualifications and this is not be the easiest in our dissemination activities, as shown by the recent meetings and seminars.

•    The involvement of all the actors in our formulations and in the development of our forward-looking, regarding particularly the links between the various experts: we must describe, in the economy of the link which is increasingly ours, the evolution of knowledge, but further also the links between knowledge. Our dissemination must be that of a dialectical confrontation of experiences involved.

•    The increased attention being paid to the impact of research: the conception of the major part of jobs internet implies that the knowledge produced must be "actionable", which leads by example to adopt positions of co-design and analysis of conditions of reflexivity involved in these jobs. Our jobs require their share in the appropriation of technological results obtained by an ecosystem of creativity: we will present shortly in a summer school our analysis in this field.

•    A positioning that is the sociology of professions: we have to follow especially the conceptual framework developed by the works of Andrew Abbott , in particular as regards of the structuring of emerging professions. It is certainly for us to recognize the determinism of the existing, but also to seize its dimensions "phenomenological", to lie, therefore in a world of emergence " .   

•     The participatory prospective of jobs,  whose interest in the dissemination of PIN is that it can be simultaneously a vector of awareness of changes and a proactive approach to developments which makes it a great tool for managing change in conditions particularly sensitive and complex. 

•    The mapping of knowledge necessary for the control of human resources and the structuring in organizations of skills networks where they create, acquire and disseminate knowledge . We know that these maps allow to representing jobs and skills by structuring content co-constructed which allows identification of a true heritage of knowledge allowing the organizations willing to manage these assets, concerned with managing these heritage to make a precise analysis to determine in their strategies what knowledge they need to focus, specify, develop ... The look of PIN must reflect widely the systems of skills development that each partner will identify around him.

•    The status of the notion of job and its contemporary avatar: we were not stressed enough the strength with which the word itself back on the front of the social scene. Much work wonder thus on this resurgence that our project is fully engaged, as well as the meaning of such a resurgence in recent years, even- as highlighted by recent analysis of the psychologist Y.Clot   -  the sociological attributes of realities that he designate continues to crumble… In the world of Internet, as shown in a recent issue of the channel TECHTOC TV which we participated, we can rightly wonder: job can become a notion of "organizers" of the working world? Thanks to emerging technologies, he acquires a new social imaginary? Then emerge the enthusiasm of managers for the notions of "talent" and of "community of practice", we have therefore, in our vision of dissemination of project, to identify also new meanings of concepts conveyed in our analysis.  

•    The theory positioning very strong of jobs Internet in the field of contemporary social ethics, which making it a topic of interest to many economic actors through for example the shared anticipation of future emerging in terms of skills, activities and responsibilities. A new job is also often resulting from some business: that of "referent of ethics compliance ". This will allow us to present PIN to the many existing forums on the subject, such as the circle of deontologists and the Ethics Committees whose the foundation is a member and whose the conferences are regularly open to us.

To conclude this brief list of the different work axis and of reflection that we intend to give to the project, we think particularly in the works of B. Gazier (University of Lille) which emits a useful affirmation to begin our discussions  : “The figure of the sublime, she said, embodied by a handful of workers at the end of the Second Empire reincarnated today in workers by projects of the high-tech economy”. Excessive or not, such a formulation shows us clearly the level of ambition that should be ours!

THE NEW JOB OF INTERNET: PIN/ProInterNet

THE NEW JOB OF INTERNET            
Du jeudi, 10 juin 2010 -  08:30
Au vendredi, 11 juin 2010 - 17:00
Tous les jours        
Pour en savoir plus: SEMINAR "THE NEW JOB OF INTERNET". Organized by theTerritories of Tomorrow Foundation, Ministry of Foreign and European Affairs, Paris, 10,  11 JUNE 2010

THURSDAY 10, JUNE 2010
17:00 PM: TV program "New Job of Internet " Tech Toc TV.
Speakers:

    * Pierre Pougnaud (Ministère des Affaires Étrangères et Européennes),
    * Mamadou Diop (Président ISEG/CESMI, Responsable du Living Lab Africain à Dakar),
    * André Jean Marc Loechel, (Président de la Fondation des Territoires de Demain),
    * Laura Garcia Vitoria (Présidente d’ARENOTECH), Hafid Ramdani (Fondation des Territoires de Demain).

20 :00 PM: Dinner-debate «The Marriage of Jeannette» - Speaker: Claude Reynier, Ministère de l’Education Nationale (France)

FRIDAY 11, JUNE 2010/MORNING
MINISTRY OF FOREIGN AND EUROPEAN AFFAIRS- 48, RUE JAVEL - 75015 PARIS

8:30 AM: Reception
9: 00 AM: Welcome Speech by the representative of the Ministry of Foreign and European Affairs
Presentation of the program of the day by the Team of Territories of tomorrow Foundation
9:30 AM: Intervention of the project partners, overview of analysis and first results: Dekra, EMF, MPS, EPN, Euproma GmbH & Co KG, FOM, GAIA, HOU, MATISZ, WUE, Fondation des Territoires de Demain
12:30 PM: The issues, public and tools of dissemination: achievements and proposals (Territories of tomorrow Foundation: André Jean Marc Loechel, André Dan and Hafid Ramdany)
13:00 PM: Lunch

FRIDAY 11, JUNE 2010/AFTERNOON
MINISTRY OF FOREIGN AND EUROPEAN AFFAIRS- 48, RUE JAVEL - 75015 PARIS

14:30 PM: Euproma GmbH & Co KG - GAIA: Definitions of the working agenda and objectives for the second half of 2010

15:00 PM: Seminar «Innovation and prospective: the new job of internet»,
* Session chair: André Jean Marc Loechel, président Fondation des Territoires de Demain
Speaker:
* Natacha Queter Scemeon (Culture Clic)
* Cristina Serra Vallejo (Direction de la science, de la technologie et de l’industrie, OCDE) et Christian Reimsbach-Kounatze (OCDE)
* Grégoire Besnier (IAT, Vienne)
* François Caron (Empreinte/Fondation des Territoires de Demain)
* Nicolas Leck (Communauté de Communes du Nord de la Martinique)
* André Dan (Fondation des Territoires de Demain)
* Vincent Ducrey (Hub Manangement)

18:00 PM: Launch of the international network of «Job of the internet of tomorrow » and the conclusion by Territories of tomorrow Foundation

20 :00PM : Dîner CA «Le Laumière»

Pour en savoir plus: SEMINAR "THE NEW JOB OF INTERNET". Organized by theTerritories of Tomorrow Foundation, Ministry of Foreign and European Affairs, Paris, 10,  11 JUNE 2010

Introduction seminar:

Laura Garcia Vitoria
Scientific Director of Territories of Tomorrow foundation
«Knowledge is the power»,
Francis Bacon, Meditationes Sacrae (1597)

The place of knowledge, science and technology in the context of the current crisis gives rise today to an intense reflexion (thought) within the economic field. The economy of knowledge trying in fact to overcome the major concern of economists for material goods and focus the attention on intangibles elements that have to do with the production of knowledge, science, technical skills and also "human capital". Their integration into our instruments of economic measures is not obvious, as shown by the recent debate in which I participated last week at the European Investment Bank in Luxembourg. Our colleague from OECD insist certainly on this issue in his presentation.

It is in fact the real issue for our foundation concerning the jobs of the Internet today and especially tomorrow. It is basically also and especially the reason for being of our presence in the PIN program and in the militancy that we shown for it through our actions of dissemination in the cultural and linguistic horizons the most diverse.

In fact, these jobs gather the major parties of issues at work in the genesis of a society based on knowledge. They are also in contact with sites that are ours and the tools we use, like all of you. I limit myself here to some examples.

This is the domain of web TV we often use - yet last night for what is largely devoted to the issue of PIN- and that make appeal to many knowledge little taught and still poorly identified. François Caron- who has created in partnership with the Foundation a "living laboratory" dedicated to these new media- will develop particularly this point this afternoon, when it is to creating a true online observatory and especially when new media intersect the really innovative uses of e-learning. Hafid Ramdany will show it to us also through the concrete example of our site.

It is also the domain of social networks and community management and Andrew Dan who is one of the best experts today will show us here again the two facets which concern us most: jobs mobilized on the one hand and the potential use of these tools by all of us in the context of the dissemination of the project on the other hand.

I do not want to be longer, we have many analyses to be exchanged. I do not doubt in any case that this day will be fully successful.

Tuesday, June 22, 2010

UNE STRATÉGIE POUR PIN: UNE VISION DE LA PROSPECTIVE DES MÉTIERS

Il nous fait d’abord prendre en considération les difficultés largement inhérentes au présent projet et qu’il convient de bien mettre en lumière.

* De manière générale, on n’est plus aujourd’hui dans une dissémination de certitudes, mais d’itération, où chaque message se construit par rapport à un autre. PIN est un projet de réseau thématique où un tel changement de perception s’impose tout à la fois à l’égard de tous les publics cibles identifiés, mais aussi en interne, au travers notamment des rapports entre les word package (même si cette pratique de regroupement de taches - habituelle à tous les projets européens - se voit aujourd’hui clairement contestée par les pratiques les plus innovantes de management de projet).

* Une autre des difficultés qu’il nous faudra surmonter est qu’au-delà des divers acteurs identifiés à des métiers plus ou moins déterminés et à des fonctionnalités claires s’impose une multiplicité de scénarios professionnels où se démultiplient les synergies entre savoirs.

* Les publics cibles connaissent eux-mêmes de considérables changements dans la définition de leurs profils. Ainsi, le monde des entreprises ne trouve plus sa diversité au travers de leur taille, mais essentiellement de leur réactivité et de leur niveau d’innovation : nos interlocuteurs en la matière seront ainsi d’abord ceux des entreprises en réseaux. A leurs côtés figurent surtout les acteurs de la clustérisation des territoires qui caractérise l’économie de la connaissance: nous organiserons ainsi à l’automne à Bruxelles une rencontre européenne dédiée aux métiers de l’Internet et au monde de l’innovation. Très concrètement, comme évoqué à l’occasion de notre rencontre à Paris, ce sont plus les Living Labs et les acteurs économiques qui s’y retrouvent que les entreprises traditionnelles - même si naturellement il n’est pas question de les ignorer en la matière -.

Pour ce qui est de notre propre vision que nous souhaiter partager au sein du projet PIN, elle se voit largement basée sur une PROSPECTIVE DES METIERS, à court ou long terme, et qu’il s’agisse des métiers d’aujourd’hui ou encore de ceux de demain - tant il est vrai que le contexte de nos travaux est celui d’une vraie « guerre des talents ».

Comme le montre par exemple Pascale Levet dont nous suivrons ici très largement les préconisations au travers de la description de ses analyses au sein du LAB’HO (groupe Adecco) ou encore dans le cadre de l’ANACT - dans le domaine de l’Internet et des technologies de la connaissance surtout (les travaux d’Aline Scouarnec 1 et ceux d’Emmanuelle Marchall au Centre d’Etude de l’Emploi, qui figureront dans nos prochaines bibliographies) -, une meilleure description du travail lui-même peut réellement enrichir la prospective des métiers.

Les fondements mêmes de la reconnaissance des qualifications avaient en effet été remises en causes par des modalités de recrutement largement connectées des savoirs en question : c’est là au demeurant que se mesurent le mieux ce que seront les conséquences concrètes du développement d’une économie basée sur la connaissance qui est tout ici sauf une expression vaine.

Si la prospective peut donc éclairer les enjeux futurs d’un marché de l’emploi, ce n’est donc pas en limitant son approche à la définition qualitative et quantitative des compétences requises demain, mais en l’élargissant aux mécanismes de rapprochement entre l’offre et la demande dans les domaines qui nous concernent ici.

Les développements récents du recrutement par simulation répondent bien à de tels enjeux, ceci en apportant une véritable visibilité sur les ajustements qualitatifs et quantitatifs requis demain.

Nous aurons ainsi à montrer dans nos préconisations que c’est bien évidemment ici la posture même du recruteur qui est amené à évaluer en profondeur.

De même, nous entendons que nos analyses et leur dissémination permettent de construire de vraies stratégies en termes de production et d’allocation des ressources humaines futures.

Plusieurs axes devront illustrer la présente vision de notre dissémination:

* la place de l’employabilité dans le domaine qui est le nôtre, ou plus précisément encore la prospective des opportunités de transitions professionnelles : une prise en compte des processus cognitifs des divers acteurs du marché de l’emploi et dans la construction d’une évaluation de l’employabilité est indispensable et nous comptons bien intervenir sur ce point dans les grandes enceintes internationales aujourd’hui mobilisées sur ces questions.

* l’échec au cours des deux dernières décennies de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, notamment dans la gestion de l’expertise: il s’agit en l’occurrence de prendre en compte surtout les combinaisons nouvelles d’activités et de compétences.

* le rôle des dynamiques professionnelles et donc organisationnelles: ce qui compte dans les métiers de l’Internet notamment, c’est d’abord aujourd’hui de s’assurer de la systémique du regard qui, selon l’expression de Jean-Baptiste Suquet 2, doit permettre de rendre compte d’environnements et d’organisations complexes. Il nous faut donc à l’évidence articuler dans nos analyses des niveaux et surtout des temporalités diverses (avec notamment un aller retour présent / futur dans la description des qualifications et ce ne sera pas le plus simple dans nos actions de dissémination, comme l’ont montré des rencontres et des séminaires récents.

* l’implication de tous les acteurs dans nos formulations et dans l’élaboration de notre regard prospectif, en ce qui concerne notamment les liens entre les différentes expertises : nous devons décrire, dans l’économie du lien qui est de plus en plus la nôtre, l’évolution des savoirs, mais davantage encore les liens entre ces savoirs. Notre dissémination doit être celle d’une confrontation dialectique des expériences en présence.

* l’attention accrue qui est portée aux effets de la recherche : la conception de la majeure partie des métiers de l’Internet implique que les connaissances produites doivent être «actionnables», ce qui amène par exemple à adopter des positions de co-conception et d’analyse des conditions de réflexivité impliquées par ces métiers. Nos métiers exigent leur part dans l’appropriation des résultats technologiques obtenus par un écosystème de créativité : nous présenterons prochainement dans une université d’été notre analyse en ce domaine.

* un positionnement qui est celui de la sociologie des professions : nous aurons à suivre notamment le cadre conceptuel élaboré par les travaux d’Andrew Abbott3, en ce qui concerne notamment la structuration des métiers émergents. Il s’agit certes pour nous de reconnaître le déterminisme de l’existant, mais surtout de saisir sa dimension « phénoménologique », à se situer donc dans un monde de l’émergence » 4.

* la prospective participative des métiers, dont l’intérêt pour la dissémination de PIN est qu’elle peut constituer tout à la fois un vecteur de prise de conscience des transformations et une démarche proactive face aux évolutions qui en fait un très bon outil d’accompagnement du changement dans des conditions notamment particulièrement sensibles et complexes.

* les cartographies de connaissances nécessaires pour le pilotage des ressources humaines et la structuration dans les organisations de réseaux de compétences où ceux-ci créent, acquièrent et diffusent des savoirs 5. On sait que ces cartographies permettent de représenter métiers et compétences en structurant un contenu co-construit qui permet une vraie identification du patrimoine de connaissances permettant aux organisations soucieuses de gérer ce patrimoine, d’en faire une analyse précise afin de déterminer dans leurs stratégies quelles sont les connaissances qu’elles doivent privilégier, préciser, développer…Le regard de PIN doit tenir compte le plus largement possible des systèmes de développement de compétences que chaque partenaire repérera autour de lui.

* le statut de la notion même de métier et ses avatars contemporains : on n’a pas assez souligné la force avec laquelle le mot même revient sur le devant de la scène sociale. De nombreux travaux s’interrogent ainsi sur cette résurgence à laquelle notre projet participe pleinement, de même que sur le sens d’une telle résurgence au cours de ces dernières années, alors même - comme le soulignent par exemple les analyses récentes du psychologue Y.Clot 6 - les attributs sociologiques des réalités qu’il désigne ne cesse de se déliter… Dans le monde de l’Internet, comme le montre une récente émission de la chaîne TECHTOC TV à laquelle nous avons participé, on peut s’interroger à bon droit : le métier peut-il redevenir une notion «organisante» du monde du travail ? Grâce aux technologies émergentes, acquière-t-il un nouvel imaginaire social ? Alors qu’émerge l’engouement des gestionnaires pour les notions de «talent» et de «communauté de pratique», nous avons donc, au sein de notre vision de dissémination de projet, à inventorier aussi les nouvelles acceptions des notions véhiculées dans nos analyses.

* le positionnement théorique très fort des métiers de l’Internet dans le champ de l’éthique sociale contemporaine, qui en fait un sujet d’intérêt pour de nombreux acteurs économiques au travers par exemple de l’anticipation partagée des futurs émergents en termes de compétences, d’activités et de responsabilités. Un nouveau métier en est d’ailleurs souvent issu dans certaines entreprises: celui de «référent de conformité éthique». Ceci nous permettra de présenter PIN aux nombreuses instances existantes en la matière, telles que les cercles de déontologue et les comités d’éthique dont les conférences nous sont régulièrement ouvertes.

Pour conclure cette rapide énumération des différents axes de travail et de réflexion que nous entendons donner au projet, nous pensons tout particulièrement aux travaux de B. Gazier (Université de Lille) qui émet une affirmation fort utile pour amorcer nos débats 7 : « La figure du sublime, dit-elle, incarnée par une poignée d’ouvriers à la fin du second Empire se réincarne aujourd’hui dans les travailleurs par projets de l’économie high tech ». Excessive ou non, une telle formulation nous montre bien le niveau d’ambition qui doit être le nôtre !
Notes
1 A. Scouarnec, « L’observation des métiers : définition, méthodologie et actionnabilité en GRH », Management et avenir, 2004.
2 JB. Suquet, «Pour une prise en compte des dynamiques professionnelles…», Economie et société, 2007.
3 Chacun connaît son ouvrage de référence : « The system of professions » publié dès 1988 par les presses de l’Université de Chicago.
4 L.Gimbert, in  « La prospective : pour un retour aux fondamentaux », Management et avenir, 2004.
5 Notre travail de dissémination s’inscrit complètement dans le cadre conceptuel élaboré depuis 1993 par P. Drucker (« Le big bang des organisations », Harvard).
6 Y. Clot, « Travail et pouvoir d’agir », Paris, 2008.
7 « Vers un nouvel outil social », Paris, 2005.

LA CONSTRUCTION D’UNE VISION

LE DEVELOPPEMENT DES OUTILS DE DISSEMINATION
15 juin 2010

INTRODUCTION

L’élaboration des stratégies innovantes adoptées en vue de la création d’un réseau dédié aux métiers et formations de demain en ce qui concerne notamment Internet et les technologies de la connaissance a duré plus d’un semestre.

Il a été illustré par des débats multiples et l’échange d’argumentations caractérisées par une grande diversité, et ceci aussi bien au sein de notre équipe qu’entre les partenaires à l’occasion des rencontres - notamment celle organisée à Paris au Ministère des Affaires Etrangères français le 11 juin - et surtout en liaison avec d’innombrables interlocuteurs - des institutions nationales et internationales pour l’essentiel -.

Au cœur de cette démarche, a été choisie notamment une stratégie de hub management (explicitée et présentée ici), en délaissant résolument les anciennes pratiques et outils de présentation et de gestion de projet qui auraient rendu notre action totalement incomprise de nos plus jeunes interlocuteurs, ceux précisément aujourd’hui positionnés sur le terrain des nouveaux métiers et formations. Son élaboration, très ambitieuse il est vrai, a pris plus d’un semestre (au-delà donc des délais prévus), mais elle ne peut que nous satisfaire aujourd’hui au travers des multiples retours obtenus.


I - LE HUB MANGEMENT: UNE DEMARCHE GLOBALE DE DISSEMINATION


A l’occasion de la rencontre entre partenaires à Paris, nous avons demandé à Vincent Ducrey - webmestre à la présidence de la république française - de nous présenter le «système de l’influence» tel qu’il le décrit dans son récent ouvrage. C’est cette approche qui sera suivie tout au long de la présente analyse et de manière générale dans l’ensemble de nos recommandations à nos partenaires.

Au travers des outils qui caractérisent les métiers de l’Internet d’aujourd’hui et plus encore de demain, toute dissémination des résultats et analyses issus d’un projet suppose la construction d’un écosystème informationnel et la cartographie de la médiasphère qui lui correspond.

Cette approche impose de rejeter avec détermination les vieilles pratiques qui aujourd’hui survivent (sites internet issus d’autres projets, newsletter traditionnelles et destinées à la seule lecture des évaluateurs, forums vides de sens…).
Notre démarche nous permet en effet d’abandonner ces voies traditionnelles et linéaires pour nous adapter à de nouvelles situations afin de bénéficier d’une vraie réactivité.

Considérer les différents maillons séparément - comme cela pouvait encore s’envisager il y a quelques années - revient aujourd’hui à ignorer l’essentiel, à savoir la porosité des frontières entre médias qui est de fait une caractéristique majeure des nouvelles formes de communication. Tout partenaire qui n’en tiendrait pas compte verrait ses propres efforts de dissémination réduits à peu de choses.

Comme l’a en effet souligné Vincent Ducrey dans sa conclusion au Ministère des Affaires Etrangères, la notion de hub part du principe que tout projet et les informations qu’il véhicule a son propre cycle de vie (en l’occurrence à partir des trois années prévues et des prolongations le moment au travers de projets complémentaires), un cycle déterminé en fonction de son contenu, de ses émetteurs et bien sûr de ses cibles. Il s’agit donc de répertorier les relais de la dissémination qui lui permettent de se détacher de ses supports et d’avoir sa propre existence au sein de la médiasphère que nous aurons déterminé.

L’objet de la dissémination du projet PIN, fidèle en cela à nos déterminations initiales, vise donc à une influence globale, autrement dit à être interprété par l’ensemble des relais d’information retenus, qu’ils soient des relais du web, des relais médiatiques traditionnels, des relais mobiles ou des relais terrain. Tous les partenaires sont ainsi invités à participer largement à la construction de notre hub, qui sera le «concentrateur» de cette influence globale et en fait la véritable zone d’influence que nous aurons pu bâtir ensemble autour de nos objectifs communs.

La Fondation des Territoires de Demain a pour habitude dans ses stratégies de dissémination de prendre très largement en considération les constats de Chris Anderson dans ses récents écrits (dans la revue «Wired» notamment) et singulièrement bien sûr dans son ouvrage «La longue traîne»; rappelons ici que sa loi des 80-20 sera pour nous déterminante : 20% des relais de l’information composent 80% de l’influence d’une présentation ou d’une dissémination.

Jusqu’à ce jour, nous nous sommes seulement concentrés (contrairement à certaines suggestions émises à notre réunion de Munich et finalement écartées) sur la constitution d’un réseau de relais d’information connectés de proche en proche, ceci sans qu’il n’y ait jamais de hiérarchie centrale pour sa diffusion. Il s’agit en l’occurrence de ce que les théorisations de la communication les plus récentes nomment «mesh in»1. Très concrètement, ce sont des anticipations, plus précisément encore des relais d’informations potentiellement fondamentaux sans que leur petite taille parfois, voire leur importance quant au sujet du projet n’amenaient guère auparavant à les considérer comme des relais importants, qu’il s’agisse ainsi d’institutions publiques, d’acteurs privés, et bien sûr surtout de nouveaux médias comme les web TV avec lesquelles de nombreuses émissions sont prévues (et certaines déjà réalisées) dès cette année.

L’essentiel est de faire considérer le projet et ses partenaires comme autant de précurseurs dans la diffusion des informations et donc dans le déploiement des métiers ainsi concernés.

A l’inverse, aucun travail n’a été fait dans le domaine du «mesh out»2: ce fut l’objet de vives discussions - un document a même été rédigé en la matière par un partenaire -, mais il nous a semble parfaitement inutile qu’un projet basé sur l’innovation et le futur prenne en considération des relais dont la présentation même est devenue aujourd’hui parfaitement obsolète!

Pour établir la liste des relais intégrés à notre hub PIN, nous utilisons de fait nos récentes opérations de communication relatives à nos projets internationaux les plus récents. Nous recommandons naturellement et continuerons de recommander à tous nos partenaires de faire de même; nous serons d’ailleurs à l’avenir à leurs côtés à cette fin.

1 - Le traitement premier de l’information sur le projet -et la présentation du document-  permettent même, on le sait, à des émetteurs de faible influence (ceux dont le nom ne dépasse pas vingt pages sur Google) de bénéficier d’un vrai écho. Il ne faut donc pas qu’un partenaire sous-estime le rôle que peuvent remplir certains de leurs interlocuteurs (académiques, entrepreneuriaux, associatifs, médias locaux…). L’importance de leur «localisation» est évidente (importance considérable de la diversité linguistique), mais nous proposerons à cette fin un certain nombre de documents génériques. 

2 - Le rôle des agences de presse reste notable, nous recommandons à tous les partenaires de prendre contact avec les agences les plus pertinentes à l’échelle de chaque pays (les représentations notamment d’ASSOCIATED PRESS ou de REUTERS) et de leur transmettre régulièrement leurs analyses, articles, réflexions sur l’actualité concernant notre domaine…, en nous en transmettant copie afin que nous puissions contribuer à élargir leur diffusion.

3 - Les blogs et versions web des journaux constituent un domaine de diffusion très riche, cumulant la facilité de la diffusion et l’importance de leur impact. Les responsables des sites web des journaux recherchent en effet ce genre de «contributions», de même que, par définition, les sites qui vivent des contributions qui leur sont adressées (LE POST en France). Là encore, nous sommes à la disposition de nos partenaires peu habitués à repérer et à gérer de tels supports informationnels.

4 - Les chaînes d’information thématique sont nos futurs partenaires par excellence. En France, nous travaillons ainsi tout particulièrement avec BFM TV.

5 - Les agrégateurs, à l’instar notamment de Google, sont aussi le plus souvent d’excellents partenaires, au travers, là encore, des représentations nationales, voire locales, du fait ici surtout qu’ils sont précisément souvent confrontés à la recherche de profils pas toujours aisés à trouver.

6 - Il en est de même des opérateurs mobiles. Nous travaillons en ce qui nous concerne avec ORANGE qui dispose d’ORANGE LABS dédiés précisément aux toutes nouvelles formes de dissémination informationnelle.

7 - Pour ce qui est des radios, les antennes locales d’une part, spécialisées d’autre part sont parmi les plus fidèles. BFM RADIO en est l’illustration même en ce qui nous concerne.

8 - La presse écrite la plus innovante (celle qui dispose par exemple d’applications sur iphone ou sur ipad), à l’exemple de  LA TRIBUNE ou des ECHOS en France - et qui sont donc forcément sensibilisés à nos problématiques - de même que les journaux gratuits (les versions locales de METRO en tout premier lieu !) constituent des cibles de choix pour notre dissémination. Il en est de même du journal LE MONDE qui a accueilli en première page d’un supplément spécial un article de Laura Garcia Vitoria.

9 - La mobilisation des acteurs les plus concernés et leur participation impose notre insertion dans tout le champ de la twitterature. Nous n’avons pas eu le temps de préparer lors de notre réunion parisienne la diffusion de twitts résumant au fur et à mesure les interventions des différents intervenants, il sera essentiel que nous le prévoyons lors de notre prochaine réunion, tant il est vrai que le micro-bloging fait aujourd’hui partie de toute réunion tant soit peu sérieuse de cette nature. Nous l’avions fait à l’occasion de manifestations telles que PARIS 2.0 ou MARSEILLE 2.0 et la diffusion de nos analyses s’y est retrouvée de fait considérablement augmentée.

10 - Pour ce qui est des réseaux sociaux, nous y reviendrons dans la seconde partie de cette présentation. Le sujet devra là aussi être évoqué en ce qui concerne les outils en ligne de PIN, aujourd’hui encore relativement pauvres, mais auxquels la dissémination devra donner un vrai élan au travers notamment de la grande famille des réseaux sociaux et de leurs interactions nécessairement multiples avec le futur site de référence.

11 - En matière de constitution d’une vraie couverture photographique sur FLICKR et de la réalisation de présentations aussi bien sur DAILY MOTION que sur YOUTUBE (nous renvoyons à d’autres présentations sur ces sites que l’on trouvera sous l’intitulé « TERRITOIRES DE DEMAIN »), il est important que les partenaires nous fassent parvenir les photos prises pendant les réunions ou encore relatives à leurs institutions.

12 - En matière de blogs et de webzines, il nous faut tous faire un réel effort pour évoquer dans tous logs personnels ou thématiques nos contributions et réflexions sur la thématique de notre projet. Nous avons tous au moins un blog - Laura Garcia Vitoria en tient + de quatre en ce qui la concerne - et si tel n’est pas le cas nous recommandons à tous les partenaires d’en ouvrir un pour en faire un outil additionnel et local de diffusion de notre travail commun. Nous recommandons pour ce faire l’un des trois outils les plus commodes : BLOGGER bien sûr, WORDPRESS surtout et éventuellement TYPE PAD. Nous assurerons la mise en cohérence des blogs que chacun aura décidé d’ouvrir.

13 - Les wikis ne sauraient se limiter à Wikipédia dont on sait la place contestée par la plupart des acteurs de notre terrain. Nous nous proposons - et proposons à chacun - bien plutôt de participer à une réflexion commune sur les futurs outils et technologies de la connaissance dont notre sujet constitue un élément central, avec par exemple les cartographies des compétences.

14 - L’impact terrain sera surtout un axe de travail pour l’année à venir, avec par exemple les organismes de diffusion de la presse (nos contacts avec PRESSTALIS) et surtout les nouvelles formes de diffusion de l’information au travers du mobilier urbain de demain et des firmes grandes employeuses de métiers de l’Internet comme DECAUX.

15 - Les analyseurs d’opinion figureront également parmi nos interlocuteurs de l’an prochain (OPINIONWAY) : pour l’instant, nous recommandons simplement de premiers contacts d’information avec eux-mêmes et surtout leurs clients habituels afin de pouvoir bénéficier le cas échéant, le moment venu, d’une insertion de nos problématiques dans l’une de leurs futures enquêtes.

16 - Les groupes d’influence, enfin, constituent clairement la matière première de nos contacts. En ce qui nous concerne, nous recommandons tout particulièrement les contacts avec les décideurs et acteurs territoriaux, les associations d’élus et les responsables et experts de think tank.

Nous avons d’ores et déjà réuni une importante masse d’informations sur chacun de ces points. Sur chacun d’entre eux, nous fournirons aux partenaires du projet les outils qui nous apparaitront les plus adaptés et qui en même temps permettront de projeter des lumières nouvelles sur un grand nombre de nouveaux métiers. Nous resterons en tout cas fidèles à cette cartographie des relais cibles.

II - UNE MULTIPLICITE DE RESEAUX SOCIAUX AU CŒUR DE NOTRE STRATEGIE


La seconde composante de notre démarche se propose de s’appuyer sur une centaine de réseaux sociaux que la Fondation a jusqu’ici identifiés et pour lesquels la thématique de PIN constitue un vrai sujet d’échanges et de débats.
Il n’est pas nécessaire de les évoquer ici trop longuement, mais d’en énumérer et en définir ceux qui nous apparaissent comme les plus pertinents.

Pour s’adresser à un public jeune et pour l’essentiel étudiant, on recommandera des réseaux comme ETNOKA. Pour les mêmes, HUZZ est un réseau social dédié à l’emploi, de même que JOBMEETERS ou JOBINGENIEUR. En s’inscrivant à la communauté IGLOO, on peut de plus, tester des programmes en version bêta et être relié à de très nombreux professionnels - dont une partie se voit directement issu du monde de l’Internet -. Bien plus élitiste, on citera de même celui - planétaire contrairement à ce que semble dire son nom - des FRENCHTUESDAYS. Il nous faudra faire en sorte que ces communautés n’ignorent rien de PIN…

Certains sont intéressants pour PIN en raison même de la précision de leur ciblage : on évoque ainsi beaucoup les métiers de l’internet sur un réseau comme FINROAD, mais dans un écosystème qui est celui de la finance. Il en est de même du monde immobilier rassemblé autour d’IMMOWEBPARTNER. Très différent, mais lui aussi fort spécialisé, le réseau HEJORAMA est consacré au e-tourisme, réel laboratoire des technologies 2.0, voire 3.0 en la matière.

AMODUS est une communauté privée composée pour l’essentiel de chefs d’entreprises innovants et créatifs, qui organise dans plusieurs grandes villes européennes et mondiales parmi lesquels notre projet peut être un vrai sujet. On y parle vraiment des nouvelles compétences nécessitées par l’économie de la connaissance, un peu à la manière - même si les formulations culturelles sont parfois différentes - de l’APNA CIRCLE indien ou de l’APRIVATECLUB new-yorkais.

Très proche, un réseau comme FORBES, largement ouvert lui aussi aux questions de technologie et d’emploi; ses sous-réseaux ont une vie quasi-autonome et souvent tout à fait intéressante. INTERNATIONS, fondé en Allemagne, nous semble tout aussi utile pour nos objectifs.

A titre anecdotique, on citera également un réseau technologiquement très ciblé puisque consacré aux savoirs et pratiques en matière d’usage des périphériques. Il se situe complètement dans notre champ, largement teinté de culture geek: GDGT.


CONCLUSION

L’ensemble de ces outils de dissémination fait l’objet d’un envoi à l’ensemble des partenaires et leur retour nous permettra de préciser les attentes de chacun et bien sûr les analyses de pertinence de chacun des seize axes évoqués.

Nous soulignerons le fait que nous serons régulièrement aux côtés des partenaires tant pour développer les relations avec les acteurs de leur propre écosystème - comme l’implique tout naturellement toute stratégie de hub management -, mais que nous veillerons également à harmoniser étroitement l’ensemble de ces actions.

1 «Zone d’influence montante».

2 «Zone d’influence descendante».

TOWARDS A BIBLIOGRAPHY OF INTERNET BUSINESSES

Avril 2010
1.- Information architecture
Regarding information architecture, we underscore the importance of the following publication:
* Information architecture for the world wide web by Rosenfeld and Morville, O’Reilly, 2002
For the training of the web project manager, you may refer to:
* Web Project Manager. Delivering Successful Commercial Web Sites, by Ashley Friedlein, 2000
The web designer in another profession with a bright future.
The e-internet consultant sees his profile outlined in the following publications:
* No Business Like E-Business: The Spectacularly Simple Secrets Behind How You Can Create A Web Site And Make Money With It, by Ravi Jayagopal, NY, 2007
* IT Made E-Z by Patrick H. Bowman, Paperback, 2006
* How to Be a Successful Internet Consultant by Jessica Keyes, Paperback, 2002
* The Consultant's Guide to Getting Business on the Internet by Herman Holtz, Paperback, 1997
* Top web designers / E-commerce consultants, Northern Ontario Business, Digital, 2005
* Top 15 Web Designers and E-Commerce Consultants, Northern Ontario Business, Digital, 2005
* M-Commerce Crash Course: The Technology and Business of Next Generation Internet Services by P. J. Louis, Paperback, 2001
* Essential Tools of the Internet: using E-mail and the Web for Effective Communication: a public sector consultant shares ideas, guidance, and best-practice, The Public Manager by Dina M. Lewis, Digital, 2005
* Cybermarketing: Your Interactive Marketing Consultant by Regina Brady, Edward Forrest, Richard Mizerski, and American Marketing Association, Paperback, 1997
* The Guide to a Successful Managed Services Practice - What Every SMB IT Service Provider Should Know... by Erick Simpson, Perfect Paperback, 2006

Last but not least we need to mention the Head of Information Technology Project Management.

2.- Project Management
Concerning the Project Manager, the following publications provide some information:
* Project management of IT project: a guide for the Project Manager by Joseph Gabay, Paris, 2009.
* The IT Project Manager, Didier Kueviakoe and Daniel Chocker, Paris, 2008
* The Project Manager hand book, by Didier Kueviakoe, Paris, 2004

3.- Programming and Development
As for the web architect, several studies imply the elements of training at least.
* The Making of Information Systems: Software Engineering and Management in a Globalized World by Karl Eugen Kurbel, Springer, 2008
* Patterns of enterprise application architecture by Martin Fowler, Addison-Wesley, 2003
* Guide to enterprise IT architecture by Col Perks and Tony Beveridge, Springer, 2003
* Enterprise Architecture at Work: Modelling, Communication and Analysis by Marc Lankhorst, Springer, 2009
* Information Architecture by Wei Ding et Xia Lin, Morgan & Claypool Publishers - 2009
* Information architecture for the World Wide Web by Louis Rosenfeld and Peter Morville, O'Reilly Media Inc, 2002
* H. J. Reekie and R. J. McAdam, A Software Architecture Primer, Software Architecture Primer, 2006
* Software architecture in practice by Len Bass and Rick Kazman, Paul Clements Addison-Wesley, 2003
* Developing business objects by Andy Carmichael, CUP Archive, 1998
* Enterprise architecture A to Z by Daniel Minoli, CRC Press, 2008
* Computer architecture: a quantitative approach by John L. Hennessy - David A. Patterson and Andrea C. Arpaci-Dusseau, Morgan Kaufmann, 2007
* Software Architecture by Varma Vasudeva, Pearson Education India
* Essentials of software engineering by Frank F. Tsui and Orlando Karam, Jones & Bartlett Publishers, 2006
* UML for dummies by Michael Jesse Chonoles and James A. Schardt, 2003
* Service-oriented software system engineering: challenges and practices, by Zoran Stojanovic and Ajantha Dahanayake, Idea Group Inc (IGI), 2005
We include at this stage developers, multimedia developers and flashers.
Regarding training of integrators, reference is made to:
* Continuous Integration, White Papers, Ibuildings, December 2009

4.- Web Design and Graphics
This covers the trainings for flash designer, game designer, 3D illustrator and web designer.

5.- Administration
Covering the host network animator and of course the IT security expert.

6.- Information and Knowledge Management
This involves the e-librarian, the data base manager, the manager of audiovisual documentation, the knowledge manager, the head of the web archive and the taxonomist.

7.- Editorial
Trainings in this area are viewed as being those of cyber journalist, IT lawyer and video producer.

8.- Animation
Covering the IT administrator, the website maintenance and the online editorial director.

9.- Mastery of use
We know the importance of the professions of ergonomists.
Concerning the experts in digital accessibility, we can easily refer to the Institute of Digital Accessibility, to the Hélèn Library (Braillemet) and the European Forum for digital accessibility.

10.- The Web follow-up
Regarding the role of traffic analyst, a series of recent publications, highly technical, represent best the training of ecosystems and the dissemination of knowledge. Among the most recent, we mention the following:
* L. Janowski, P. Owezarski, "Assessing the accuracy of using aggregated traffic traces in network engineering", Telecommunication System Journal, October 2009
* Alberdi, V. Nicomette, P. Owezarski, " Platform for the controlled delivery of malware, "Francophone Symposium on Engineering Protocols (CFIP'2009), Strasbourg, France, 12-15 October 2009
* G. Fernandes, P. Owezarski, "Automated classification of network traffic anomalies", 5th International ICST conference on Security and Privacy in Communication networks (SecureComm’2009), Athens, Greece, September 14-17, 2009
* R. Serral-Gracia, Y. Labit, J. Domingo-Pascual, P. Owezarski, "Toward an efficient service level agreement assessment", IEEE Infocom’2008, Rio de Janeiro, Brasil, April 19-25, 2009
* P. Owezarski, M. Boyer, "Modeling of multimedia architectures: the case of visioconferencing with guaranteed quality of service", Petri nets: Fundamental models, verification and applications, chapter 20, M. Diaz editor, Wiley, ISBN 978-1-84821-079-0, pp 501-525, 2009
* R. Serral-Gracia, P.F. Dominey, A. Beben, P. Owezarski, "Chapter 2: QoS measurements in IP-based networks", in T. Braun, M. Diaz, J. Gabeiras, T. Staub editors, End-to-end quality of service over heterogeneous networks, Springer, ISBN 978-3-540-79119-5, pp 23-48, October 2008
* P. Owezarski, "Contribution of the French MetroSec project to traffic anomalies detection", Meeting the French group of network operators (FRNOG), Paris, France, May 30, 2008
* P. Owezarski, "Monitoring for next generation Internet", Keynote speech, End-to-End Monitoring (E2EMON’2008), Salvador de Bahia, Brazil, April 7yh, 2008
* Farraposo, P. Owezarski, "Detection, Classification and identification of traffic anomalies," Symposium of Francophone Engineering Protocols (CFIP'2008), Les Arcs, France, 25-28 March 2008
* Owezarski, Y. Labit, P. Berthou, D. Gauchard, "LaasNetExp: a generic polymorphic platform for network emulation and experiments", 4th international conference on testbeds and research infrastructures for the development of networks & communities (TRIDENTCOM’2008), Innsbruck, Austria, 18-20 march 2008
* Alberdi, E. Alata, P. Owezarski, V. Nicomette, M. Kaaniche, "Shark: Spy Honeypot with Advanced Redirection Kit", 2nd workshop on MONitoring, Attack detection and Mitigation, (MonAM’2007), Toulouse, France, November 5-6th, 2007
* S. Farraposo, P. Owezarski, E. Monteiro, "A multi-scale tomographic algorithm for detecting and classifying traffic anomalies", IEEE International Conference on Communications, Glasgow, Scotland, 24-28 June 2007
* Alberdi, P. Owezarski, V. Nicomette, " Designing an experimental platform for the behavioral study of malicious type bots, 2nd joint conference on Security in network architectures and information systems (SAR-SSI'2007), Annecy, France, June 12-15, 2007
* E. Alata, I. Alberdi, V. Nicomette, P. Owezarski, M. Kaaniche, "Compliance and Enforcement of Internet attacks with rebounds," Symposium on Safety of Information Technology and Communications (SSTIC'2007), Rennes, France, 30 May - 1 June 2007
* P. Owezarski, N. Larrieu, Techniques and metrology tools for the Internet and its traffic," Technical Engineering, pp.R 1090-1-R 1090-22, June 2007
* P. Owezarski, N. Larrieu, L. Bernaille, W. Saddi, F. Guillemin, A. Soule, K. Salamatian, "Distribution of traffic among applications as measured in the French METROPOLIS project", Annals of Telecommunications, Special issue on “Analysis of Internet traffic and usage traces: From network engineering to sociology of uses”, Vol. 62, No 3-4, March/April 2007
Regarding the training for help desk manager, we will refer to:
* Eric DUPUIS / Marie Th. MEZIERE «Le Helpdesk. Un des processus du génie logiciel», CNAM, 2005

11.- Marketing and Trade
Three training are to be taken into account: the web space buyer, the media planner and the SEO. They are - for once - treated more extensively in French publications:
* Referencing in Google (Complete Guide) by Gilles Gregory
* How to refer your website by Jean-Pierre Eskenazi
* Getting visible on Internet by Jean-Pierre Eskenazi
* Promote your website by Emmanuel Fraysse
* Referencing on the net by Marie Prat
* Online marketing and referencing, Jean-Pierre Eskenazi and François Cazals
* Lexicom, Serge Henri Michael

12.- Research, market watch and innovation
These are courses that the Foundation has often accompanied in the past and which we intend to further develop a lot in the future. We will therefore devote, within the PIN framework, our special attention to this area!
Therefore, concerning the training of strategic intelligence and web-surfer, information can be found in:
* Anderruthy, Jean-Nöel: Web 2.0: (R)evolution and new internet services, Paris: Editions ENI, 2007.240p (Objective Solutions )
* Boni, Alexandre, Sternart, Nicolas: Web 2.0 and Web advanced, Paris: Editions Micro Applications, 2006
* Delacroix Jérôme: Les Wikis: spaces of collective intelligence, Paris: Editions M2, 2005
* Erztscheid, Oivier: Create, find and exploit blogs, Paris: ADBS editions, 2008
* Fayins, David: Web 2.0 and beyond – New internet users: from the surfer to the actor, Economica, 2008
* Gervais, Jean-François: Web 2.0: Internet users in power, Paris, Dunod, 2007
* Hussher, François-Xavier, Hussher Cécile, Carrasco Marie-Estelle: The new power of the internet users, Paris: Editions Timée, 2006
* The library and the Web 2.0: Archimag, Guide pratique, 33, 2008
* Leblond, Corinne & Papy, Fabrice: Workshop May 22, 2008: The library and the Web 2.0: significant improvement of user services? Saint Denis: University Paris 8, 2008. http://doc.univ-paris8.fr/je/2008/22mai
* Lefebre, Alain: Social Networks: backbone of the internet 2.0, Paris, M2Editions, 2005
* Morand, Jean-Claude: RSS, blogs: a new tool for management, Paris: M2Editions, 2005
* Rebillard, Franck: Focus on Web 2.0: a socio-economic analysis of the internet, Paris, L’Harmattan, 2007
* Tapscoot, Don, Williams; Anthony d. Wikinomics: Wikipédia, Linix, Youtobe… How collaborative intelligence overthrows the economy, Pearson village Mondial, Paris, 2007
* Asselin, Christophe; Mesguich Veronique: Web 2.0 for market intelligence and information research: explore all the resources of the social web, Digimind Services (ed), 2007
* Cozic, Fréderic: Web 2.0: Economic and Technical Challenges. 2006. Graduation report from the Central School of Electronics
* Kaenel, Isabelle and Iriarte, Pablo. The library catalogues: From the invisible to the social web. RESSI- Swiss electronic journal of Information Science, N°5, March 2007
* Maness, Jack M. Library 2.0 Theory: Web 2.0 and its Implications for Libraries. Webology, 3 (2)
* Mesguich, Veronique. Web 2.0 Demystified: Definitions and assets for the professional. Netsources, N° 64, September-October 2006, p. 1-5
* Theodule, Marie-Laure: File Web 3.0: The future of internet. The  Research 2007, n°413 p. 28-45

A GENERIC LITERATURE FUNDAMENTAL TO THE UNDERSTANDING OF THE PERCEPTION OF INTERNET BUSINESSES.

THE BEGINNING OF A HALF-CENTURY OF WORKS AND STUDIES
Avril 2010 
The recent history of the formation and use of the concept of “knowledge worker”, as well as the activities and professions focusing on knowledge, date from the sixties, precisely the decade of the first research leading to the development of internet.
In a first book (The Production and distribution of Knowledge in the United States, Princeton University Press, 1962), Fritz Machlup underscores the importance of growth in activities related to the production of knowledge: professionals associated with these activities are then defined as those who create new knowledge and especially who communicate existing knowledge to others - “a large supporting cast of knowledge – producing employees”.
During the seventies, the sociologist Daniel Bell (The Coming of Post-Industrial Society, Basic Book, 1973) insists precisely at Harvard on the growing importance of direct contact between individuals as well as production and exchange of information and knowledge. It is during those years that the United States see reel stock of the intangible capital exceed that of tangible capital.
Peter Drucker, who seems to have been the first to use the term of “Knowledge employees”(The Landmarks of Tomorrow, 1959) writes in the last decade of the century: “knowledge is the only resource than matters” (Post-Capitalist Society, Butterworth-Heinemann, 1993).
During the same decade, Robert Reich refers to the category of “manipulators of symbols”, that classify in three areas of value producing skills the activities of “problem solving”, “problem identification” and “strategic brokerage” (The Work of Nations, 1991).
Jérémie Rifkin (The End of the Work, Jeremy P. Tercher / G.P Putam’s Sons, 1995) refers to “abstraction manipulators”, which represent a “new cosmopolitan force”, a true nomadic tribe who sells their talents and services. He sees it comprising 4% of the active work force in the United States and constituting a heterogeneous group “united by their ability to use the most modern information technology to identify, treat and solve problems”. His intervention in one of the seminars organized by ARENOTECH in Brussels has allowed this NGO to contribute to the international dissemination of both the semantics of the knowledge economy, but also the earliest categorizations of internet businesses within our European project “WEEST”.
It is this context that Richard Florida develops at Carnegie Mellon University his concept of the “creative class” (The Rise of the Creative Class, Basic Books, 2002).  In his eyes it covers a large group of creative professionals, including - at the millennium change - 30% of the US population. In the same direction, in his research particularly developed at The University of Texas, Thomas Davenport describes the employees of knowledge as those who enjoy a high level of training and expertise and who are involved in activities associated with the creation, distribution or application of knowledge (Thinking for a Living, Harvard Business School Press, 2005).
The analyses of the Territories of Tomorrow Foundation owes most to Richard Florida, but also to French research, such as by Jean-Pierre Bouchez (The New Knowledge employees, Paris, 2004).